B’nai Brith se tient aux côtés des victimes canadiennes du 7 octobre réclamant justice devant les tribunaux

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Les familles des personnes tuées le 7 octobre 2023 ont organisé une veillée dimanche sur la Colline du Parlement (Spencer Colby/ The Canadian Press).

7 octobre 2024

TORONTO – À l’occasion du premier anniversaire du jour le plus meurtrier pour les Juifs depuis l’Holocauste, B’nai Brith Canada soutient fermement les Canadiens victimes de l’attaque terroriste en Israël et qui se tournent vers la Cour supérieure de l’Ontario pour obtenir justice.

Dans une nouvelle plainte déposée aujourd’hui, les plaignants réclament 250 millions de dollars de compensation de l’Autorité palestinienne, de la République islamique d’Iran, de la Syrie et de Samidoun, une société à but non lucratif basée à Vancouver. La poursuite allègue en partie que, en finançant un programme de « récompense pour tuer » qui incite les Palestiniens à commettre des attaques terroristes contre des Israéliens, l’Autorité palestinienne est responsable en vertu de la Loi sur la justice pour les victimes du terrorisme du Canada. Ironiquement, la poursuite fait suite aux efforts d’un comité de la Chambre des communes visant à promouvoir la reconnaissance unilatérale d’un État palestinien par le Canada.

Les plaignants sont représentés par des avocats des cabinets Borden Ladner Gervais LLP, Gardiner Roberts LLP et du Groupe d’Action pour les Droits de la Personne. Les allégations contenues dans la déclaration de demande déposée aujourd’hui n’ont pas encore été examinées par la cour.

« B’nai Brith soutient sans équivoque les familles des victimes des attaques terroristes du 7 octobre dans leur quête de justice », a déclaré Rich Robertson, directeur de la recherche et du plaidoyer de B’nai Brith Canada. « Par ailleurs, il est tragique que les familles des victimes aient dû prendre les choses en main après avoir été abandonnées par les institutions canadiennes. Il est inconcevable que le Canada continue de maintenir des relations diplomatiques avec l’Autorité palestinienne, qui a du sang de citoyens canadiens sur les mains. »

B’nai Brith a également une longue histoire de plaidoyer en faveur de la révocation du statut de société de Samidoun. Comme l’a déjà souligné B’nai Brith, Samidoun est largement considéré comme un proxy du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), une entité terroriste désignée au Canada, et Khaled Barakat, le mari de la coordinatrice internationale de Samidoun, Charlotte Kates, est un membre hautement reconnu du FPLP.